Henri Leconte : « Balles neuves » Marabout

Le livre :  Notre petite balle intérieure n’a pas fini de rebondir…

Henri Leconte a enchanté les courts de gazon, de terre battue ou indoor aux quatre coins du monde, se forgeant une renommée bien au-delà de nos frontières.

Le monde du tennis a consacré la beauté de son jeu, mais aussi sa rigueur et sa rage de vaincre comme lors de l’inoubliable victoire en Coupe Davis 1991. Henri Leconte a gagné souvent, impressionné toujours, fait lever les foules et briller les yeux des enfants s’essayant à leurs premières balles.

Mais que sait-on au juste de l’homme derrière le joueur, de sa force de caractère, des concessions consenties dès le plus jeune âge à un sport si exigeant, de sa résistance à l’effort en dépit des blessures physiques et morales, de ses capacités de résilience ?

Malgré certains événements contraires, l’homme a poursuivi son chemin, enrichi par le parcours hors normes qui a été le sien, par les succès, l’amitié et la gratitude de tous ceux qui l’ont croisé et aimé durant toutes ces années.

Fort de la conviction d’avoir beaucoup à offrir et à transmettre à tous, Henri Leconte délivre, dans Balles neuves, un message de sérénité que son brillant passé lui permet à présent d’entrevoir et d’accomplir au quotidien. Il nous invite comme lui à nous sentir pleinement conscients d’être toujours en devenir. Pour le meilleur.

L’auteur : Gaucher au style explosif, 5 mondial en 1986, Henri Leconte a été finaliste à Roland-Garros en 1988 et multiple demi-finaliste aux Internationaux de France et à Wimbledon. En 1991, malgré sa convalescence à la suite d’une opération au dos, Yannick Noah le titularise en finale de Coupe Davis pour un résultat inoubliable. Il entre alors, définitivement, par sa carrière et son caractère, dans l’histoire du tennis. Retiré des courts en 1996, après seize années sur le circuit, Henri Leconte intervient régulièrement en tant que conférencier. Il fait le parallèle entre les enjeux de la performance dans le sport de haut niveau et dans l’entreprise.

Copyright photo Elodie Daguin